Plutôt des bureaux vides que du logement abordable : chronique d’une crise annoncée Eder Pozo Pérez - Unsplash

Ou « Quand les fonds immobiliers tirent profit de la crise des bureaux », titre le quotidien d'idées AOC. La sociologue et chercheuse Marine Duros y signe un texte sur la financiarisation de l’immobilier en France, et de ses effets sournois.

Adoptée en juin, la loi Daubié a instauré le concept de « réversibilité » – soit la capacité des bâtiments à changer facilement d’usage, notamment du bureau à l’habitat. Sous des apparences de politique vertueuse se cache une rhétorique de greenwashing, et l’absence de volonté politique vis-à-vis du cœur du problème : la financiarisation de l’immobilier.

La politique a priori vertueuse vient surtout soutenir l’ouverture d’un nouveau cycle d’accumulation du capital pour les fonds d’investissement immobiliers propriétaires de ces bureaux vides, au détriment de la majorité des habitants, anticipe Marine Duros.

La suite


Articles récents

ONU-Habitat à Montréal

ONU-Habitat à Montréal

ONU-Habitat, le Programme des Nations unies sur les établissements humains, ouvre un bureau à Montréal pour s’attaquer aux défis climatiques du logement.


Lire la suite
À propos de la crise du logement

À propos de la crise du logement

Une déclinaison de trois textes qui soulèvent certains questionnements sur les promesses et les actions pour accroître l’offre de logements


Lire la suite
Mémoire et modernité façonnent une architecture portugaise inventive

Mémoire et modernité façonnent une architecture portugaise inventive

Au Portugal, histoire et la modernité se côtoient d’une manière étonnamment harmonieuse.


Lire la suite
Magazine FORMES
6 numéros pour seulement 29,95 $

Restez informé avec
notre infolettre

M’inscrire...
Merci pour votre inscription, vous devez maintenant confirmer votre abonnement par courriel. Consultez votre boîte de réception.

Vous n’avez pas de compte ?

Créer un compte